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théâtre / dehors
Et demain le ciel
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Quand la jeunesse fait taire les discours résignés.
« La jeunesse ne peut pas changer le monde, c’est fini ».
Un discours inquiet, un tropisme pour le « c’était mieux
avant », un fatalisme, un lieu commun. Mais qu’en pensent
les premier·e·s concerné·e·s ?
Avec leur force de guerrières, huit jeunes femmes se
campent devant nous pour tracer un chemin, ouvrir des
brèches en forme de question, et encourager les quatre
garçons qui les accompagnent à chasser leurs peurs.
Dans une scénographie inventive, iels nous racontent leur
désir d’avenir et le vertige d’être. Une réappropriation du
langage, un espace qui permet de dire, de craindre, de se
réjouir, de pointer du doigt les incohérences d’un monde
où tout reste à faire et de répondre avec fougue à tous ceux
et celles qui pensent que tout est joué et perdu d’avance.
EN COMPLiCiTÉ AVEC NOTRE PARTENAiRE
La Ville de la Norville
« La jeunesse ne peut pas changer le monde, c’est fini ».
Un discours inquiet, un tropisme pour le « c’était mieux
avant », un fatalisme, un lieu commun. Mais qu’en pensent
les premier·e·s concerné·e·s ?
Avec leur force de guerrières, huit jeunes femmes se
campent devant nous pour tracer un chemin, ouvrir des
brèches en forme de question, et encourager les quatre
garçons qui les accompagnent à chasser leurs peurs.
Dans une scénographie inventive, iels nous racontent leur
désir d’avenir et le vertige d’être. Une réappropriation du
langage, un espace qui permet de dire, de craindre, de se
réjouir, de pointer du doigt les incohérences d’un monde
où tout reste à faire et de répondre avec fougue à tous ceux
et celles qui pensent que tout est joué et perdu d’avance.
EN COMPLiCiTÉ AVEC NOTRE PARTENAiRE
La Ville de la Norville
